Lutte contre le blanchiment

De par ses activités s’appuyant sur son statut d’établissement de paiement, le groupe Lyra est naturellement exposé au risque de blanchiment des capitaux et de financement du terrorisme (LCB-FT).

Pour continuer à protéger efficacement l’intégrité du système économique et financier, ainsi que les acheteurs consommant sur les sites clients de Lyra, le groupe a ajouté à son arsenal de contrôles un nouvel outil.

Le choix s’est porté sur Napier Continuum, une plateforme puissante englobant de l’intelligence artificielle augmentée. 

Pourquoi un nouvel outil de LCBF ?

Le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme dans le monde représenteraient entre 2 et 5% du PIB mondial par an d’après la Banque de France. Un montant vertigineux qui fait rapidement comprendre l’importance de l’engagement de chaque acteur à mettre tout en œuvre pour s’en prémunir. Or, le crime organisé évolue sans cesse en termes de technologie et de complexité. Lyra doit donc faire preuve d’agilité et devancer, via des outils de pointe, les comportements à risques.

Il en va de la sécurité de l’économie européenne mais aussi des consommateurs. Lyra se doit de leur proposer le règlement en ligne uniquement sur des sites de confiance. C’est un gage de fiabilité que nos clients commerçants apprécient. Choisir Lyra, c’est choisir un partenaire aux valeurs et engagements communs.

Pourquoi Napier ?

Napier est de loin l’outil le plus avancé du marché puisqu’il combine gestion complexe de règles et intelligence artificielle. Ainsi, les équipes « compliance » de Lyra gagnent en :

  • Réactivité, en créant rapidement de nouvelles règles dès l’identification de risques,
  • Finesse, avec des règles adaptées en fonction des cas d’usage et du profil marché/acheteurs,
  • Anticipation, grâce à des analyses prédictives,
  • Efficacité, avec la capacité de tester les règles en amont pour éviter les faux positifs.
Control napier e-commerce

En quoi consiste le LCB-FT ?

Le blanchiment des capitaux consiste à redonner une apparence légale à de l’argent obtenu de manière illicite. Cet argent est issu par exemple d’activités mafieuses, de trafics, de fraude fiscale ou de corruption. Le financement du terrorisme, quant à lui, consiste à fournir ou réunir des fonds, des biens ou des services susceptibles d’être utilisés dans le but de perpétrer directement ou indirectement des actes de terrorisme.