La fraude au moyen de paiement s’impose comme une réalité quotidienne pour de nombreux commerçants. Elle progresse au rythme des usages, des technologies et des opportunités qu’offre chaque canal de vente. Pour s’en prémunir, il faut comprendre, anticiper et bâtir une stratégie de défense adaptée à son activité. C’est dans cet esprit que nos experts ont imaginé et conçu un livre blanc dédié à la lutte contre la fraude au moyen de paiement.
Télécharger notre livre blanc sur la lutte contre la fraude au paiement
Clair, structuré et nourri de données récentes, ce livre blanc met en lumière les principaux risques, décortique les méthodes des fraudeurs (camouflage, carding, détournement, mirage…) et partage les leviers pour consolider et fiabiliser sa brique paiement. Un contenu exclusif pour les acteurs du commerce qui souhaitent garder une longueur d’avance, anticiper les menaces et sécuriser leurs transactions durablement.

Au sommaire :
- Chiffres clés et tendances à retenir
- Panorama des fraudes au paiement les plus courantes
- Impact de la fraude sur la rentabilité du commerçant et la relation client
- Mécanismes du chargeback et de la rétrofacturation
- Objectif, motivations et modes opératoires des fraudeurs
- Outils et bonnes pratiques pour renforcer la sécurité
- Exemples concrets et retours d’expérience
La fraude touche tous les moyens de paiement
En ligne comme en point de vente physique, chaque moyen de paiement est concerné. Les fraudeurs se réinventent sans cesse, exploitent les nouveaux usages et mutualisent leurs techniques pour contourner les dispositifs de sécurité.
D’après le dernier rapport de l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement (OSMP), la fraude en France représente 1,2 milliard d’euros en 2024 pour 7,8 millions de transactions.
Si la carte bancaire concentre 40 % des montants fraudés et 94 % des cas recensés, d’autres moyens sont également ciblés :
- le virement (qui pèse près de 30 % des montants fraudés et est souvent utilisé dans des escroqueries ciblant les entreprises),
- le chèque (toujours exploité pour les fraudes à grande échelle),
- le prélèvement (détourné via phishing ou usurpation d’identité).
Chaque transaction, même conforme en apparence, peut donc masquer un risque latent de perte sèche voire de chargeback qui double le coût initial de la vente. C’est précisément sur ces enjeux que Lyra mobilise son expertise : aider les commerçants à anticiper les risques, renforcer leur stratégie antifraude et transformer la sécurité en levier de performance.


